lundi, février 18, 2008

Conseil des Ministres

le Top 10

The winner Is Zeiny Ould Ahmel Hady : Ali Baba au CDHLCPI

le tout beau, tout nouveau Directeur Général Adjoint du Budget Zeiny Ould Ahmel Hady
X ould Y Mets ta cagoule, j'adore quand il "Fous sa Cagoule". C est parti mon kiki !
Number: 1 par X OULD Y:

Ancien proxénète, ancien agent comptable, Zeiny a commencé sa carrière professionnelle à la fameuse UBD dans laquelle il a bâti de solides relations personnelles avec ses deux principaux amis et complices dans ce qui deviendra ultérieurement le scandale financier le plus célèbre de l’histoire de la Mauritanie contemporaine : l’affaire de l’UBD. Ces deux tristement célèbres voyous à savoir Hamady Ould Meimou et Cheikh Sidel Mokhtar Ould Cheikh Abdallahi vont, quelques années plus tard, retrouver Zeiny et organiser avec lui ce qui est en passe de battre le record de détournements publics réalisé à l’UBD : le commissariat aux droits de l’homme, à la lutte contre la pauvreté et à l’insertion, structure publique hybride mise en place en 1998 par maaouiya pour soutirer des sous frais aux institutions internationales.
Yahya Ould Atigh, également vieux pote de Zeiny qui, des années durant, a profité de ses talentueux services de proxénète, arrivant au commissariat en 2001, voulait à tout prix transformer la boite créée, organisée et meublée par Abdessalam Ould Mohamed Saleh afin qu’il puisse, par ses propres pions, y dicter ses lois. Parmi d’autres calamités, il a apporté Zeiny qu’il nomma au poste de DAF de la boite. A partir de cette date, le commissariat est entré dans une ère où se jouent les plus spectaculaires aventures d’Ali Baba et les quarante voleurs.
Zeiny a commencé, avec l’aval de yahya ould atigh, par fondre la structure budgétaire du commissariat en un nouveau fourre-tout dorénavant appelé « budget de l’institution » sans aucune distinction entre fonctionnement et investissement, ce qui fut sa première invention par laquelle les ressources initialement destinées au financement des programmes peuvent être, comme ce fut souvent le cas, utilisées pour financer des travaux au domicile du commissaire ou du daf ou pour acheter des téléphones portables qui servent d’appât pour les ‘conquètes’ que Zeiny fournit à ses clients de marque à commencer par yahya ould atigh.
Ould nagi vint au commissariat après ould atigh et trouva zeiny devant lui. Ould nagi, grand adepte de l’inertie, n’a mis que quelques jours pour découvrir en zeiny l’instrument qu’il lui fallait : faible, poltron taillable et monnayable à toute le corvées, sans convictions, sans principes, inculte, voleurs sans retenue, sans amour propre, lâche, ingrat… et n’a pas hésité à l’employer pour faire la façade de toutes ses extravagances. Il y a trouvé également, son propre cousin cheikh sidel mokhtar ould cheikh abdallahi au poste de commissaire adjoint. Avec ce duo, ould nagi s’était détaché de la gestion opérationnelle au profit de zeiny et cheikh sidel mokhtar et s’était limité à son sport favori : les voyages. Zeiny, dans ces conditions, avait eu toute la liberté de manœuvre sur les ressources du commissariat et tout lui était permis tant que la part de cheikh sidel mokhtar n’était pas en jeu. Cette situation a duré presque un an pendant lequel le commissariat a perdu la moitié de sa capacité d’action. On y a vu du tout : des rames de papier achetées à 20 fois le prix du marché et jamais livrées, des véhicules achetés au prix fort et jamais utilisés par l’institution, un véhicule de grand luxe a même été acheté avec un particulier du nom de hadrami ould berrou petit inspectrillon de police et ancien concubin de ould nagi, des financement de coopératives à hauteur de 150 millions d’ouguiyas au profit de abdallahi ould noueygued. On a également assisté à des méthodes inédites de transport de fonds : cheikh sidel mokhtar était même allé jusqu’à mettre dans la malle arrière de sa voiture des sacs en laine (à l’origine contenant 50kg de riz chacun) remplis de millions d’ouguiyas au vu et au su de tous. Pendant cette période, zeiny avait financé la totalité de la construction de ses deux nouvelles maisons (celle de tevragh zeina, la deuxième, et celle de Bat’ha au Brakna) sur les frais du commissariat et au prix cher. Cheikh sidel mokhtar avait aussi financé des travaux d’élargissement et d’embellissement de sa demeure sur les frais du commissariat et notamment la construction d’un garage pour sa voiture au prix de cinq millions d’ouguiyas.
Avec ould nagi, toute la mauritanie croyait que les limites de la gabegie et du mépris de la république étaient atteintes, bien entendu, avant qu’un certain abdelkader ould ahmed vienne au commissariat. L’arrivée d’abdelkader était perçue, de tous, comme étant la résultante directe de l’un des plus incompréhensibles et absurdes exercices cérébraux de maaouiya. A son arrivée au commissariat où il trouva, de toute évidence, devant lui, zeiny auquel il est lié par une parenté lointaine, il commença systématiquement à placer son propre monde et zeiny n’a été que soutien pour lui dans cette tâche. Une semaine après, zeiny lui inculqua l’idée comme quoi il serait possible de rénover la ruine qui lui servait de maison sur les frais du commissariat, idée qu’il accepta tout de suite. Zeiny a conclu un contrat avec l’un de ses innombrables fournisseurs afin de transformer la maison du nouveau commissaire en un véritable palais pour un coût global de 17 millions ouguiyas, contrat que zeiny a facturé à l’institution au prix de 31 millions ouguiyas.
Abdelkader, au prix d’énormes efforts de corruption, a mis en place un nouveau système de décaissement qui oblige tous les directeurs qui, chacun, gère un budget plus ou moins autonome par rapport aux autres, à coopérer avec la DAF qui doit, par ce système, co-signer tous les chèques émis par l’institution. Cette démarche offre à zeiny la possibilité de grignoter sur les budgets des différentes directions ce qui lui a rapporté d’énormes ressources. Ici, j’ouvre une parenthèse :
Le commissariat, en dehors des projets financés par différents bailleurs de fonds, reçoit de l’état mauritanien une enveloppe annuelle de l’ordre de cinq milliards ouguiyas. Sur ce volume d’argent relativement important, le commissariat arrive, chaque année, à le dépenser, toujours, avant la fin du mois d’août alors que le coût global des projets qu’il finance effectivement, ne dépasse jamais deux milliards par an. Il y a donc au moins trois milliards ouguiyas qui se volatilisent chaque année. Où est allé cet argent ?
Le commissariat étant l’unique institution publique où l’argent public s’encaisse et se dépense sans le moindre contrôle de quelque instance que ce soit puisque son conseil de surveillance est présidé par le commissaire lui-même qui est, de ce fait, responsable uniquement devant lui-même, et n’a, donc, aucun compte à rendre à qui que ce soit sinon à lui-même, il devient évident que l’organisation du détournement de cet argent est chose facile notamment avec un staff permanent composé des plus renommés voleurs de la république : zeiny, cheikh sidel mokhtar, ely ould el haj, ahmedou ould ely, abadila ould berrou…etc
Pour illustrer les méthodes utilisées par zeiny pour corrompre ses patrons successifs, il avait offert, sur le compte du commissariat, un téléphone portable avec abonnement post paid mattel à la fille d’abdelkader. La première facture de ce téléphone qui avait d’ailleurs été publiée dans la presse locale était de 827 000 ouguiyas que le commissariat a payé.
Aujourd’hui, trois ans après le départ d’abdelkader, sa femme continue toujours à rouler dans un véhicule toyota land cruiser VX immatriculé SG07714 appartenant au commissariat. C’est aussi zeiny qui est à l’origine de cette affaire.
Hamady ould meimou, fils de nechra, « Roberto » pour les intimes en raison de sa parfaite connaissance du monde des liqueurs, est arrivé au commissariat après le décès d’abdelkader. Il trouva devant lui ses deux principaux complices dans l’affaire de l’enterrement de l’UBD. Pour hamady, le dossier était simple, y avait rien à faire de particulier. Le système de pillage mis en place par cheikh sidel mokhtar et zeiny lui convenait parfaitement. Il avait juste quelques petites innovations à y apporter pour accélérer le train du détournement. Ainsi, il a inventé « la convention libre » qui consiste en la possibilité d’octroyer un financement à n’importe qui, n’importe comment et pour n’importe quoi. Avec ce système, des milliers de conventions de financement ont été signées avec des milliers de personnes physiques et morales, fictives dans la plupart des cas, pour des objets qui n’ont, très souvent, rien à voir avec l’objet des financements autorisés dans l’institution. Ainsi, des conventions ont été signées avec des coopératives, des restaurateurs, des imams, des chauffeurs, des proxénètes, des prostituées, des griots, des policiers, des gendarmes, des notables, et avec le diable…. Zeiny est même allé jusqu’à signer trois conventions avec sa propre femme pour un montant global de 13 millions ouguiyas ainsi que deux conventions avec son propre neveu pour un montant global de 9 millions d’ouguiyas.
Au temps du fils de nechra, zeiny a transformé le CDHLCPI en une vulgaire petite boutique personnelle où tout, absolument tout, lui était permis. Il organise les recrutements (aujourd’hui, le commissariat compte plus 300 employés payés que personne n’a jamais vus. Ce sont principalement, des parents à zeiny, des proxénètes et des noms qui ne correspondent à personne. Une masse salariale partielle que zeiny décaisse chaque mois sous forme de paiement de caisse et qu’il distribue personnellement et en dehors de l’institution), il nomme et dénomme, il distribue les récompenses et les sanctions, il réparti les voitures et avantages… bref, le commissariat est devenu la propriété personnelle de zeiny ould ahmel hady, bye bye la république !
L’une des plus grosses aberrations que zeiny fit accepter à ould nechra était un nouveau système de financement jamais osé par les plus aigris voleurs publics de l’histoire de la mauritanie. Entre deux approvisionnements du trésor, zeiny trouvait inacceptable de rester quelques jours sans rien à voler. Il proposa donc de faire recours à d’autres systèmes de financement, privés cette fois, et s’est attaché principalement à deux méthodes. La première, classique diraient certains, consiste à se faire avancer de l’argent à volonté par une banque en contrepartie du versement intégral des approvisionnements du trésor dans les comptes du commissariat auprès de la banque en question qui va, à son tour, facturer des agios qui se multiplient à la vitesse de la lumière. Cette méthode a été suivie avec la GBM (environ 4 milliards ouguiyas au total) et, actuellement, avec la BADH (jusqu’à maintenant, un peu plus de 780 millions ouguiyas). L’avantage pour zeiny est évident : il n’est plus retenu, dans ses efforts de détournement, par l’irrégularité des approvisionnements du trésor. Pour l’institution, elle a perdu, au moins, 35% de ses ressources budgétaires en raison des agios mais peu importe tant que l’argent afflue. La deuxième est encore plus vulgaire : il demande à un cercle de fournisseurs de lui apporter, plus ou moins régulièrement, des montants d’argent liquide (ça va du simple million à la centaine de millions) pour expédier ses extravagances et leur promet de les rembourser à hauteur du double dans des délais ne dépassant pas les trois mois. Cette méthode a été expérimentée avec une bonne vingtaine de fournisseurs qui ont, de la sorte, réalisé, disent-ils, de belles affaires de placement.
Sid’ahmed ould el bou est arrivé au commissariat après le 3 août. Ancien DAF du ministère du développement rural et co-concepteur du célèbre système des 10% sur les dépenses du ministère, ould el bou est une personne inconsistante par son faible caractère et ses capacités intellectuelles et personnelles à la limite du néant. A son arrivée, il s’est très vite fait apprivoisé par zeiny et cheikh sidel mokhtar à coup d’avantages matériels et financiers qui dépassent certainement les limites que ses rêves les plus fous auraient tracées. De ce fait, il s’est très vite accommodé au système de la caverne d’ali baba s’est soumis aux lois de la bande laissant la voie libre à zeiny et cheikh sidel mokhtar qui continuent à piller les débris du CDHLCPI comme s’ils avaient commencé pas plus loin qu’hier. Ould el bou reçoit immédiatement tout ce dont lui, sa femme, ses enfants, ses parents et son monde souhaite avoir, il suffit d’en faire vent à zeiny qui fait supporter au commissariat le loyer de la maison de ould el bou, le coût ses factures d’électricité, de sa nourriture, du renouvellement de sa garde robe, de ses voyages lui et sa famille à l’intérieur comme à l’étranger et même le coût des couches-culottes de son bébé. En contrepartie, zeiny reste maître à bord, il s’accapare, pour chaque ouguiya dépensée par le commissariat, de trois ouguiyas.
Le commissariat est aujourd’hui une institution mourante, incapable, sans ressources, sans capacités techniques, opérationnelles et administratives. A ce jour, le CDHLCPI aura vécu presque huit ans. Son bilan est maigre, les pauvres sont au moins autant nombreux et autant pauvres qu’ils l’étaient il y a de cela huit ans. Le CDHLCPI aura au moins servi à élargir, multiplier et diversifier la fortune de fonctionnaires qui y sont arrivés riches et sont, aujourd’hui, certainement beaucoup plus riches qu’ils ne l’étaient à leur arrivée au commissariat. C’est à la fois triste et révoltant. Triste parce que la mauritanie y a perdu beaucoup, ressources et crédibilité, et révoltant parce les personnes qui en sont responsables ont, contre vents et marées, aujourd’hui, les mêmes responsabilités publiques et continuent à décider du sort d’importantes ressources publiques et de celui de beaucoup d’hommes, de femmes et d’enfants qui n’ont, somme toute, que l’Etat pour leur venir en aide. L’Etat qui, malheureusement, hiberne dans les poches d’ignobles fonctionnaires de la stature de zoueiny.

Ps: les autre bientôt voici les noms
Mohyedine Ould Sidi Baba.
Mohamed Ahid Ould Isselmou dit Salek frere du gynéco candidat a la presi.
Salka Mint Malaïnine Robert.
Hassanna Ould Boukhreiss le Héritier du KHREISS
..... etc

11 Comments:

Anonymous Anonyme said...

franchement, tu es OULD MAURITANIE

18 février, 2008 21:45  
Anonymous Anonyme said...

Bravo Ould Mauritanie. Ahmed

19 février, 2008 00:25  
Anonymous Anonyme said...

Mon frère Ould Mauritanie,
merci pour le rappel, la mafia est de retour, rafraîchir la mémoire de quelques uns ne doit pas être considéré comme un crime Bravo mon frère.


Brahim.

19 février, 2008 09:32  
Anonymous Anonyme said...

Je cherche X, le Vrai X National ou es tu ? Le Pays a besoin de toi !

19 février, 2008 10:26  
Anonymous Anonyme said...

Ould Mauritanie

Bravo J'ai besoin de ton email,j'ai des informations pour toi merci de répondre rapidos

19 février, 2008 10:41  
Anonymous Anonyme said...

Lu sur cridem

"Gouvernement : Zeine Ould Zeidane la cible"

De plus en plus de voix s’élèvent pour demander au Premier Ministre, M. Zeine Ould Zeidane, de démissionner. Comme motif d’une requête qui va crescendo, on invoque l’absence de bilan et de perspectives après plus de dix mois de mandat.

Lors de sa visite à Nouadhibou, le Premier ministre a entendu de vive voix cette demande lui être formulée par plusieurs intervenants qui lui imputent un bilan zéro. Un écho qui sera repris lors de la première session du Congrès provisoire du Pacte national pour la démocratie et le développement qui regroupe la majorité présidentielle.

En réalité, selon les observateurs, M. Zeine Ould Zeidane avait hérité dès le départ d’un cadeau empoisonné, à la tête d’une équipe sur laquelle il n’avait aucune emprise. En fait, la composition du gouvernement, qui était sensée relever les défis, constituait elle-même un problème, une sorte de Patchwork où chaque ministre désigné par Sidi Ould Cheikh Abdallahi ou par Messaoud ou par quelque autre bord, n’avait pour gourou que celui qui l’avait nommé.


En définitive, le gouvernement actuel de par sa structuration, ne pourra jamais, avec les meilleures volontés du monde, sortir la Mauritanie du marasme dans lequel il est empêtré depuis sa naissance. Car il lui faudra avant tout dépasser ses propres contradictions. Or, les Mauritaniens n’ont plus la force d’attendre que les membres actuels du Gouvernement, qui plaident chacun pour sa chapelle, s’échangent des lettres d’amour avant de se pencher sur leurs problèmes qui ont aujourd’hui dépassé le stade de l’urgence.

Le Président de la République devra assumer ses responsabilités et prendre les choix limités qui s’offrent à lui. Ou bien, exiger la démission collective du gouvernement et rebâtir une équipe plus homogène qui n’aura qu’un seul chef et non trente mille oreilles. Ou bien, demander carrément à Zeine Ould Zeidane de former lui-même son propre gouvernement en ne nommant que les personnes sur qui il aura une emprise. Ainsi, le Premier ministre sera le seul responsable devant le Chef de l’Etat et les Mauritaniens des bourdes qu’il aura à parsemer sur son chemin ou des dividendes qu’il aura récoltés par sa bonne gouvernance.

Dans l’état actuel des choses, et vu la situation de ce gouvernement «Chelakh Melakh », on ne peut pas demander à Zeine Ould Zeidane seul des comptes. Car, aussi bien le président de la République que lui sont solidairement responsables de l’état de déliquescence du pays.

Cheikh Aïdara

19 février, 2008 11:08  
Blogger ʁᵎᵚᵒ said...

salut tous ,

Hassené ould boukhreiss ,

C'est le grand fils de mahmoudi ould boukhreiss le frere du général-moulay.
c'est aussi le frère de mohamed salem ould boukhreiss le president du machin sportif .
Mais la bonne nouvelle est là :
c'est un ami à leila mint sidiya la fille de ramla .

19 février, 2008 11:24  
Anonymous Anonyme said...

X la Mauritanie à besoin de toi !!

19 février, 2008 12:09  
Anonymous Anonyme said...

Réimplantation du PRDS à Aleg:
Enfin, l’entente!


Les tractations ayant précède la mise en place des sous sections et de la section de la Moughataa d'Aleg dans le cadre de la quatrième campagne de réimplantation des structures du PRDS, ont révélé combien la vie politique dans cette partie de la Mauritanie est imbriquée au tribalisme.
Dès le début de la campagne, le groupe des quatre(NDLR), pour élargir sa base, a approché les Zmarighs. Ces derniers, considérant qu'ils venaient de sortir d'un problème interne, ne voulaient pas d'une nouvelle alliance qui aurait pu entamer leur unité retrouvée avant la formation de la sous section de la commune de Bouhdida, située à quelques kilomètres au sud d'Aleg. . Quant à la tendance du CDHLCPI, Cheikh Sid El Mokhtar, elle aurait continué à soutenir les Tagnits de Cheikh Mohamed Vall. Les Deukcheme, une troisième entité, était partagés entre les Zmarighs et les Tagnits.
Finalement, la sous section de Bouhdida a été remportée par les Zmarighs soutenus et dirigés par Sidel Mokhtar Ould Nagi. Forts de ce succès, ils ont pris contact avec les gens de Male qui regroupe les Kountas, Tmadec, Turkuz… avec comme dirigeants, entre autres, le Maire Sidi Amar Ould Sidna, Zeini Ould Ahmed Elhadi et le directeur technique de l'ATTM dans le but de mettre la main sur la section. Du fait d'une proximité traditionnelle, les gens de Male ont accepté. Le groupe des quatre, parce qu'il contrôle les deux sous sections de la commune d'Aleg n'a pas apprécié cette alliance qui compromettait sérieusement ses chances au niveau de la section. Il considérait aussi les Zmarighs comme leurs partenaires politiques. Une des raisons, selon certains observateurs, de la volonté des Zmarighs de contrôler la section de la Moughataa d'Aleg et qu'ils ont, avec le choix de Sy Baba à Boghé, perdu une section qu'ils ont toujours contrôlée. La section d'Aleg représente donc pour eux une sorte de compensation. Mis en minorité, le groupe des quatre a fini par rentrer dans les rangs. Résultat : le bureau de la section a été élu à l'unanimité avec deux membres pour chaque tendance et le secrétaire général pour les Zmarigs. Pour les délégués au congrès du PRDS, chaque commune aura un représentant.Parmi les délégués au congrès on peut citer Sidel mokhtar o.Nagi, Sidamine ould Ahmed Challa ,Zeini O. Ahmed Elhadi, Cheikh Sidel Mokhtar O. Cheikh Abdallahi, Zeini O Hamady, Oumar O. Boubacar.
32 931 inscrits, 31 842 PRDS !!!
En termes de nombre d'adhérents, ces alliances et contre alliances ont donné les résultas suivants : 6659 pour les deux sous sections de la commune d'Aleg, 4534 pour Agchorguitt, 8753 à Male, 7989 à Bouhdida, 2524 à Chegar et 1403 à Dielwar. Au total 31 842 personnes disposent d'une carte PRDS dans la Moughataa d'Aleg. Comme pour Boghé et M'bagne, il est difficile de résister à la tentation de comparer ces chiffres à ceux des présidentielles de novembre 2003 pour y voir clair. En 2003 donc, 32 931 personnes étaient inscrites sur la liste électorale de la Moughataa. 21 097 y ont voté dont 14 073 pour le candidat ould Taya. Nonobstant le nombre fort marginal de ceux qui ont atteint l'age de voter entre 2003 et 2005, trois constats peuvent être tirés de cette comparaison. D'abord, le PRDS a dépassé le Rais de 17 431 voix. Ensuite, le nombre d'inscrits en 2003 (32 931) dépasse à peine celui des adhérents de 2005 (31 842). En fin le nombre d'inscrits pendant cette réimplantation dépasse de 10 807 celui des votants de 2003 qui était de 21 097.
L'unanimité étant toujours suspecte en démocratie, d'aucun s'interrogent sur la portée réelle de ces performances. Comment ces adhésions ont-elles été obtenues ?
En dépit de tous les problèmes qu’a connu la campagne de réimplantation dans le département d’Aleg, les forces en présence ont pu dépassé leurs divergences et s’entendre sur un partage équitable des postes et de délégués, malgré le poids de chaque sous-section.

Khalilou.B. Diagana CP/Brakna
Khalioubi@yahoo.fr

19 février, 2008 14:09  
Anonymous Anonyme said...

Ould Mauritanie
un commentaire sur cette liste que j'ai eu sur Cridem

" Le parti de la majorité"


Finalement c’est fait. Les cadres présents au palais des congrès ont porté à l’unanimité vendredi soir tard dans la nuit monsieur Ould Waghef actuel Ministre secrétaire Général à la Présidence à la tête du parti comme président. Rappelons que ce parti est considéré comme le parti qui canalise les forces politiques qui ont soutenu le président de la République alors candidat.

Les cadres ont également décidé de fournir l’instance du conseil national par les noms qui suivent. Nous reviendrons sur ce parti dans notre prochaine édition.

- Abdallahi ould Med ould Moctar
- Abdallahi ould Sid’Amine
- Abdallahi ould Taleb
- Abdallahi Salem ould Gleiguem
- Deddoud ould Abdallahi
- Abdarrahim ould Hanchi
- Abdatt ould Cheikh Saad bouh


- Abdallahi Amadou Ba
- Aboubekrim ould Salem
- Ahmed Baba ould Ahmed Miské
- Ahmed Killy ould Cheikh Sidiya
- Ahmed ould Ayye
- Ahmedou ould Cheibany
- Ahmed ould Jiddou
- Ahmed Ould Khairou
- Ahmed ould Moulaye
- Ahmed ould Sidi Baba
- Ahmed Salem ould bouna Moctar
- Ahmed Salem ould Ndary
- Ahmed Salem ould Saleck
- Ahmede ould Mbareck
- Ahmedou Ould Ahmedou
- Ahmedou ould Balla Chrif
- Ahmedou ould Cheikh Al Hadramy
- Ahmedou ould Ghalawi
- Ahmedou ould Taher
- Ahmedou ould Radhy
- Ahmedou ould Sidi ould Hanenna
- Alamassou Traoré
- Aly Sall
- Aly ould Alada
- Aly ould Med Salem
- Al Aliya mint Menkouss
- Aminetou Mint Bettah
- Athié Elimane
- Ba AbdelVettah
- Ba Bocar Soulé
- Ba Housseinou
- Ba Siley Sidi
- Baba Ahmed ould Sid’ahmed
- Babaye ould Amar
- Balla ould Eid’El Moctar
- Bamba ould Sidi Bady
- Bal Mamadou
- Babaha ould Ahmed Yourra
- Betrigha Mint Kaber
- Bnetta mint Khaless
- Boubecrine ould Ahmed
- Bouh ould Abdawa
- Bounena ould Etheimine
- Boidjel ould Houmeid
- Brahim ould El Vadila
- Cheibani ould Mbareck Vall
- Cheikh Abdallahi ould Choueib
- Cheikh Ahmed ould Sid’Ahmed
- Cheikh Al Avia ould Med Khouna
- Cheikh Med Abdallahi ould Aghatt
- Cheikh Med Hafed Enahoui
- Cheikh ould Ahmedou
- Cheikh ould El Moctar
- Cheikh ould Houmeida
- Cheikh ould Maouloud
- Cheikh Saad Bouh Camara
- Cheikh Sidi ould Med Lemine
- Cheikh Sidiya ould Med Lemine
- Cheikhany ould Souvi
- Cheikhna Sonogho
- Cheikh ould Ahmed ould Moussa
- Cheyakh ould Ely
- Choueib ould Abdallahi
- Dah ould Abdel Jellil
- Daha ould Teiss
- Dane ould Ethmane

- Dedda ould Tolba
- Diagana Bakary
- Diallo Abou Mody
- Diallo Abou Moussa
- Dieng Mamadou Abdoullaye
- Dieng Abdoul Hamet
- Diop allassane Sall
- Dieh ould Sidaty
- El moudir ould Bouna
- El Moustapha ould Ahmed Salem
- El Moustapha ould Eminou
- El Kory ould Hmeitty
- El Mamy ould Soueilim
- Elve ould Boidiya
- Ely ould El Haj
- Ely ould Sneiba

- Fatimata Bal
- Gandega Moussa
- Hassen ould Awane
- Hama ould Soueilim
- Khattry ould Bekaye
- Hamady ould Tebay
- Hamady ould Meimou
- Habib ould Hamoud
- Hamoud ould Abdi alias vibreur
- Mrabih ould Babana

- Isselmou ould Med Vall
- Kane Cheikh Med Vadel
- Kane Ousmane
- Kane Yahya
- Kelly Oumar Saada
- Khadijettou Mint Boubou
- Khattar ould Nouh
- Khattar ould Cheikh Ahmed
- Lemrabott ould Benahi
- Lemrabott ould Med Lemine alias le traitre
- Limam ould Abdawa
- Mahfoudh ould Aghatt
- Malado Coulibaly
- Mariem mint Baba Sy
- Mahfoudh ould Abeidallah
- Malainine ould Khlifa
- Mini ould Bechir
- Med Abdallahi ould Babana
- Med Abdallahi ould Bouthia
- Med Abdallahi Ould Sidi
- Med Abdallahi ould Khattra
- Med Abdallahi ould Ahmed Med Diagana
- Med Moustapha ould Med Ghadhi
- Med Moustapha ould Med Abdallahi
- Med Ely ould Brahim ould Sidina
- Med Lemine ould Aboy
- Med lemeine ould Chamekh
- Med lemine ould Houssein
- Med Lemine ould Khattry
- Med Lemine ould Med el Hadj
- Med Lemine ould Nakh
- Med Lemine ould Selmane
- Med Lemine ould Yahya
- Med Liman ould Habibou allah
- Med Mahmoud ould Boya
- Med Mahmoud ould Dahi
- Mophamedou ould Ahmed Saghir
- Mohamedou ould Tijani
- Moctar ould Med Yahya
- Moulaye el Arby ould Moulaye Mhamed
- Moussa Fall
- Moustapha Ould Ely Ebitaleb
- Moustapha ould Hamoud
- Nagi ould Med Limam
- Nagi ould Boukah
- Nagi ould Youba
- Nami ould Chrougha
- Kane Yahya
- Salka mint Yamar
- Seyidna Ali ould Jeilani
- Sid’Ahmed ould Bakaye ould Hamady
- Sidi ould Mghmboj
- Sid’Ahmed ould Bennae
- Sid’Ahmed ould Haj
- Sid’Ahmed ould Khou
- Sid’Ahmed ould Moctar Salem
- Sidaty ould Cheikhna
- Sidi Moctar ould Nagi
- Sidi Abdalla ould Mahbouby
- Med Mahmoud ould Dahan
- Med Mahmoud ould Taleb Vezzaz
- Med mahmoud ould Bebaye
- Med ould Abdi
- Med ould Ahmed Brahim
- Med ould Ahmed ould Kowya
- Med ould Babatta
- Med med ould bernaoui
- Med ould Deyyah
- Med ould didi
- Med ould Haimer
- Med ould cheibany
- Med ould Khabaz
- Med ould Lahhah
- Med ould Med salem
- Med ould Mohmamedou ould Leilla
- Med ould Mane
- Med ould Rzeizim
- Med ould Jeilany
- Med Salem ould Dah
- Med Vadel ould Med Lemine
- Med Vall ould Bellal
- Med Vall ould Youssouf
- Med Yahya ould Med Dine
- Nagi ould Med Limam
- Nagi ould Boukah
- Nagi ould youba
- Nani ould Chrougha
- Kane Yahya
- Salka Mint Yamar
- Seydna Aly ould Jeilani
- Sid’ahmed ould Becaye
- Sid’ahmed ould Bekaye ould Hamady
- Sidi ould Mghamboj
- Sid’ahmed ould Bennane
- Sid’ahmed ould Haj
- Sidi Med ould Khou
- Sidi Ahemd ould Moctar Salem
- Sidaty ould cheikhna
- Sid’El Mocatr ould Nagi
- Sidi abdallah ould Mahmoubi
- Sidi Med ould Amajar
- Sidi Med agrebett
- Sidi Med ould Habib
- Sidi Med ould Mbella
- Sidi Med ould Med Salek
- Sidi Med Med Saleck
- Sidi Med ould sidina
- Sidi Med ould Sid’Elemine
- Sidi Med Ould ahmed Bey
- Sidi ould Boilil
- Sidi Ould Didi
- Sidi ould Khlifa
- Sidi ould Maayouf
- Sidi ould Taleb ould Mokhtar
- Sidna ould Ndah
- Slama ould Meimne
- Soumaré Samba Gueladio
- Taleb ould Abdi Vall
- Taleb ould Sidi Med
- Taleb ould Tajedine
- Teslem Mint samba
- Wane Ismailla
- Yahya ould sidElmoctar
- Yahya ould Abdel Daim
- Yahya ould Hademine
- Yali ould sidi Moustapha
- Yeslem ould sidi Moctar
- Zeidane ould Hmeida
- Zeinebou Mint Abidine Sow
- Zeinabou Mint Nahah

19 février, 2008 15:27  
Blogger ouldmauritanie said...

Le Costa Rica reconnait un Etat de la Palestine
Par Nina Levy Strauss pour Guysen International News
Mardi 26 février 2008 à 20:27

Fini les pourparlers et les négociations à n’en plus finir pour établir un futur Etat pour les Palestiniens. Le Costa Rica a tranché : il existe déjà, à ce jour, un 'Etat de la Palestine'. Une affirmation pour le moins surprenante qui intervient à la veille d’une rencontre entre le vice-ministre des Affaires étrangères israélien et le président de ce pays d’Amérique centrale. Une rencontre, qui de ce fait, n’aura pas lieu…

Fidèle ami d’Israël et partenaire de toujours. C’est ainsi que se définissait jusqu’alors le Costa Rica.
Mais les récents propos tenus par les autorités locales ont choqué les dirigeants israéliens, contraints ainsi d’annuler la rencontre prévue ce mercredi 27 février, entre Oscar Arias, président du Costa Rica, et le vice-chef de la diplomatie israélienne.

"Nous tenons à marquer notre déception face à cette regrettable déclaration lancée par le gouvernement du Costa Rica. Ce dernier affirme en effet vouloir établir des relations diplomatiques avec 'l’Etat de la Palestine' " a souligné le porte-parole du ministère des Affaires étrangères israélien.

Un 'Etat de la Palestine' qui existerait d’ores et déjà.
La proclamation unilatérale d’indépendance du Kosovo aurait-elle donc échauffé les esprits ?
L’émergence de nouveaux Etats serait un phénomène à la mode ?

Aucune précision n’a été apportée à ce sujet par les dirigeants de San Jose, laissant ainsi la question ouverte : où se trouve aujourd’hui cet 'Etat de la Palestine' ? En Israël ? Dans la Bande de Gaza ?

De tels propos viennent également à l’encontre de "l’amitié traditionnelle qui caractérise les relations entre Israël et le Costa Rica, et ce depuis la création de l’Etat hébreu en 1948" a ajouté Arié Merkel, porte-parole israélien.

Car il ne s’agit pas d’un simple dérapage. Les autorités de ce petit pays d’Amérique centrale ont justifié cette déclaration. Selon eux, c’est un moyen d’encourager le processus de paix et de faire avancer les négociations.

Et ce n’est pas le premier signe lancé par ce dernier pour affirmer son "soutien" à la cause palestinienne. On se rappelle qu’en août 2006, le Costa Rica avait décidé de transférer les locaux de son ambassade de Jérusalem à Tel-Aviv.
Une manière de laisser planer le doute quant à la reconnaissance de la souveraineté israélienne sur la ville de Jérusalem, une ville bien trop "controversée", comme l’avaient souligné les autorités locales à l’époque.

Pourtant, le Costa Rica était alors l’un des seuls pays qui avait choisi d’installer ses bureaux à Jérusalem. Une manière de prouver ses liens étroits avec l’Etat juif. Aujourd’hui, l’écart se creuse davantage entre les deux pays, et cette nouvelle déclaration ne laisse rien présager de bon.

Le ministre des Affaires étrangères de San Jose, Bruno Stagno, a cependant souhaité apaiser les esprits. "Cette entrevue est reportée. Nous cherchons actuellement une nouvelle date pour la reprogrammer".
Mais Israël le désire t-il vraiment ?



Banzaiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et mort aux cons

27 février, 2008 17:22  

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